Article Presse : En 2023, Cikaba obtient un bilan positif
La start-up créée à Clermont-Ferrand en 2016, poursuit sa percée dans le domaine de la digitalisation de la prévention des risques professionnels.
Cikaba fait ses comptes. Avec un million d’utilisateurs et 520 sites clients référencés fin 2023, l’entreprise auvergnate affiche un bilan honorable. Depuis sept ans, la start-up propose des solutions QHSE (Qualité, hygiène, sécurité, environnement) en mode SaaS dédiées à la prévention des risques professionnels sous forme d’abonnement. Sa philosophie ? « Rendre le travail plus sûr, sauver les vies et les destins de millions de personnes en plaçant l’innovation au service d’une prévention intelligente et intuitive ». Le but est de permettre aux entreprises d’éviter aujourd’hui les accidents de demain grâce à l’intelligence artificielle. « Nos solutions sont utilisées sur trois continents, des forêts de l’Amazonie jusqu’aux plateaux africains du Serengeti », revendique Cikaba qui assure avoir dispensé 21 millions de consignes de sécurité dans vingt langues en 2023.
L’IA au service de la prévention. Plusieurs fois lauréate du prix de l’innovation au salon Preventica, Cikaba vient d’être sélectionnée dans le cadre du volet régionalisé AURA de France 2030 pour sa démarche novatrice dans la prévention des risques professionnels. La start-up qui a intégré la cartographie des « start-up françaises de l’intelligence artificielle » de France Digitale pour la seconde fois en avril dernier, confirme son rôle de pionnière dans l’utilisation de l’IA pour prédire les risques au travail.
Cikaba annonce le lancement prochain de la dernière version de sa solution dédiée à la conformité des interventions extérieures : Cikaba Share. « Le but est de faciliter la gestion et le suivi des travailleurs et d’engager les prestataires et sous-traitants dans une démarche RSE collaborative de prévention ». La start-up clermontoise estime avoir fait économiser à ses clients 98 M€ en sept ans grâce à sa technologie de prévention des risques au travail. Depuis sa création, la start-up, qui a levé 2,3 millions d’euros début 2022, a doublé son chiffre d’affaires chaque année. Elle compte désormais une trentaine de salariés.